612-623 - La Pandémie : Courvide51
  • 20 Gémeaux 617 : Sa Majesté l'Empereur Ronan III se fait sacrer Empereur par le Pape Alexandre.
  • 20 Gémeaux 617 : L'OPEN remporte la majorité absolue des sièges parlementaires avec 55% des suffrages.
  • 1er Cancer 618 : Louis Ponthavelle (OPEN) aborde un deuxième mandat de Chancelier.
  • 8 Scorpion 622 : Le Bailli de la Congrégation Economique et Syndicale et Gouverneur d'Ottoman est victime d'un attentat, en direct à la télévision. Une longue enquête s'ouvre.

Le Gouvernement de Louis Ponthavelle doit, sans cesse, remettre en perspective le calendrier culturel neustrien, à cause de la pandémie de Courvide qui n'en finit jamais. Jamais la Cour n'avait connu de telles modifications de son calendrier culturel. Bien entendu, cette situation crispe les parlementaires et amène des ébats tendus. La vie politique et culturelle ne sont pas les seules à en souffrir, le Conseil Constitutionnel doit suspendre l'obligation de se faire courronner dans les deux années qui suivent l'accession au Trône et, ainsi, l'Empereur Ronan III devra attendre 617 pour se voir ceindre la couronne impériale. Malgré les aléas, la Cour se porte bien et continue de garder une constante. Si les oppositions et le Gouvernement se déchirent fréquemment, le Chancelier Louis Ponthavelle parvient à s'imposer et obtient la majorité absolue lors des Législatives, proposant un Gouvernement élargi.
Du côté de la Couronne, l'Empereur Ronan III prend ses marques et la naissance de jumeaux, au sein du couple impérial, renforce, encore, sa crédibilité. Le sacre de l'Empereur se révèle un moment de grand faste et La Cour renoue avec les "habits" de haute facture.
La fin de la Dodécade est marquée par un attentat en direct envers le Bailli et Gouverneur d'Ottoman, Balthazar Shegan, ouvrant sur une enquête qui va devenir une affaire d'état.

       
   
  20 Gémeaux 617
L'Empereur Ronan III
est sacré Empereur de Neustrie
8 Scoprion 622
Le Bailli Balthazar Shegan
est assassiné lors d'un attentat
 
       
Capricorne 612
Contraint par la pandémie de Courvide 51, le Gouvernement de Louis Ponthavelle doit, de nouveau, improviser une soirée en visio conférence. Cette fois, ce sont les voeux pour la Dodécade qui sont l'objet de ce rendez-vous interactif. Sa Majesté l'Empereur Ronan III, Sa Sainteté le Pape Alexandre et Son Excellence Sérénissime, le Chancelier Louis Ponthavelle, adressent leurs voeux. En outre, la soirée donne l'occasion de chanter, de visionner les images de la Dodécade écoulée, mais aussi d'élire la photo la plus marquante des règnes passés, "Instant d'un Règne" et c'est la soirée blanche de SO II qui remporte les suffrages, tandis que "A la une" donnait l'occasion d'élire la une de Gazette la plus marquante de la Dodécade écoulée, et ce fut la Une de la Gazette
Verseau 613
La pandémie n'en finit pas de chambouller le Calendrier Festif et c'est le Gala d'Honneur et sa remise de Lys d'Or, qui sont avancés en Verseau au lieu de se dérouler en Poissons. Evidemment, encore une fois ce sont des visio conférence qui permettent de tenir la soirée. L'Adri1Fo de Martin Gantinier occupant une large place, tandis que le Doyen de l'Académie, Selyan Onassis, propose un film pour ces Lys d'Or, ravissant le public.
Le Parlement n'échappe pas aux contraintes de la Courvide et doit, lui aussi, tenir séance en visio. Le climat est, déjà, plus appaisé et la présence Souveraine est appréciée.
Poissons 614
Puisqu'il faut composer avec la Courvide, le Gouvernement Ponthavelle s'associe avec le Gouverneur Briton, Julien Bazelaire pour organiser une soirée visio, intitulée "Who's who ?". Ainsi Julien Bazelaire, star internationale de la chanson et Rose Valois, jeune chanteuse Britonne, proposaient un concert de huit chansons pour le ravissement du public. S'ensuivait le célèbre jeu "Qui est qui ?", remporté par Mélanie Bazelaire, et Priscillia Grimaldi.

Bélier 615
Toujours pas le choix ! Encore une soirée en visio ! Cette fois, le concept est nommé "Bélier vérité". Le Courquizz laisse place à l'Adri1Fo recevant Raphaël-Edfu Dorléac, Ministre de l'Ouverture puis la soirée enchaîne sur le chant de l'Hymne Neustrien avant de jouer sur "Qui est l'Empereur ?" avec une série de 10 questions concernant le Souverain, auxquelles les participants doivent trouver les répponses exactes. C'est Laurence Bazelaire qui remporte ce jeu, en trouvant 7 des 10 réponses attendues. Enfin la soirée s'achève sur un "Action/Vérité" hillarant.
Taureau 616
Enfin ! Le confinement est, enfin, levé et les Neustriennes et Neustriens sont heueux de pouvoir, nombreux, venir au Manoir Sidi élire les nouveaux Miss & Mister Cour : Itzel Phongin et Gabriel Bencheikh, ce dernier surprenant par son audace en dévoilant un paquet des plus généreux comme atout principal de son anatomie, déclenchant hillarité et concupisence. L'après-midi s'acheva par la diffusion des deux épisodes des Héritiers déjà vus ainsi que du tout dernier révélé au piublic, en cette occasion. La Gazette célèbre son tricentenaire.
Pour la dernière séance parlementaire de la Législature Ponthavelle, on garde encore les distances et le vision reste la règle d'or.
La campagne électorale législative met la Neustrie en effervescence. Des clips électoraux, des interventions multiples, des meetings, les trois partis surenchérissent pour prendre la vedette. Mais c'est le baiser entre Ewa Kalven et Raphaël-Edfu Dorléac qui met le feu aux poudres et déclenche les ires et foudres de la famille impériale et de l'opposition.
Gémeaux 617
Si le confinement a pris fin, il faut, quand-même, s'arranger avec des horaires décalés : les soirées deviennent des après-midis. Ainsi, la Joute Electorale qui se déroule au Manoir Sidi, réunit un public nombreux en plein après-midi de Saturne. Des débats vifs mais respecteux opposent les mêmes têtes d'affiche que lors de la précédente joute : Louis Ponthavelle, Chancelier sortant, pour l'OPEN, Gwendal Borghèse, Député NPT et Justine Médicis, Députée LCN. Malgré les échanges sans concession, l'ambiance est assez décontractée et le soleil au rendez-vous.
Au regard du succès de la Chasse sur le Théätre, le Gouvernement Ponthavelle souhaite la bisser en la proposant, sous forme de Chasse à l'Oeuf, durant la même Législature. Maintes fois reportée, en raison du confinement à rallonge, les cieux cléments de Gémeaux permettent, enfin, de parcourir les rues de Lutèce, donnant la victoire à Mélanie Bazelaire et Gabriel Bencheikh.
Là, aussi, il aura fallu beaucoup de patience ! Le Couronnement de l'Empereur Ronan III, put, enfin, se dérouler, 6 ans après l'accession au Trône du nouveau Souverain de Neustrie. Que d'apparât, que de fastes et que de réhausses pour le plus grand bonheur des Sujets de Sa Mahesté. La Chancellerie offre un après-midi de rêve enfin concrétisé. Le Pape Alexandre, sera confirmé par les Templiers, après avoir, vêtu d'une nouvelle cape blanche, exprimé son discours en Cathun, avec force gestes et traduit par sa Vidâme, Mélanie Bazelaire.
   
Cette après-midi de Sacrre se poursuit par le dépuillement du scrutin législatif : l'OPEN remporte la majorité absolue avec 55% des suffrages exprimés, et Louis Ponthavelle rempile pour un second mandat. Du côté de l'opposition, Justine Médicis remonte le score et le LCN obtient 36% des suffrages, tandis que le NPT perd des points et tombe à 9% des voix, ne parvenant pas à garder un Groupe Parlementaire.
Enfin, l'après-midi s'achève sur le Tableau d'Honneur du CourQuizz : 4 personnalités obtiennent le CAS (diplôme supérieur) avec plus de 150 points tandis qu'ils sont 9 à obtenir le BAG (plus de 50 points). La première place du classement revient à Gwendal Borghèse qui relègue l'ancien premier, Louis Ponthavelle, à la deuxième place. Encore une fois, les chapeaux des diplômés font leur effet.
Cancer 618
Le Parlement, peut, enfin, reprendre du service en présentiel avec une assemblée enrichie de nouveaux membres. Outre Louis Ponthavelle, Raphaël-Edfu Dorléac, Prudence Borghèse, Justine Médicis et Gwendal Borghèse qui étaient, déjà, présents lors de la précédente Législature, ce sont Angélique Carrington, Mélissa Mercey et Daphnée Valois qui grossissent les rangs de l'Assemblée. Cette première séance permet d'adopter le Calendrier Culturel, repoussant à plus tard, le vote du Budget. La Gazette s'offre un nouveau look pour accompagner le nouveau règne.
Vierge 620
Combinant une proposition du LCN de faire un Pique Nique ouvert aux anciens et l'idée même de l'OPEN de faire venir des "anciens", ce rendez-vous qui renoue avec une tradition oubliée depuis longtemps, prend place aux Buttes Chaumont et se révèle un franc succès, notamment grâce à l'organisation de la Secrétaire d'Etat aux Festivités et au Bien-être, Prudence Borghèse. 16 participants ! Un succès ! Et le jeu "Chamboule cour" inventé par Prudence Borhgèse et Louis Ponthavelle, permet aux participants de dégommer des boites de conserves aux effigies des personnalités neustriennes. Ce sera Madeleine Dorléac qui remportera ce jeu.
Après une après-midi champêtre, la Cour et ses invités se retrouve au Manoir Sidi pour le Gala de Bienséance. Une animation dynamique pour la remise des Prix en mémoire de nos disparus, la Cour Trash qui ressort, et aussi une première diffusion d'un nouveau concept imaginé par l'OPEN et réalisé par Selyan Onassis : Secret de Cour qui lève le voile sur la vie de Marie-Thérèse Delage à travers un film qui remporte un franc plébiscite et qui donne l'occasion aux Editions des Lys de ressortir les biographies des Souverains, Ronan Ier, Ronan II et Raphaël.
Balance 621
Le Pradel devient le QG de l'OPEN qui y organise ses Conseils des Ministres avant de tenir Séance au Parlement, au Manoir Sidi.
Ils s'aiment ! Angélique Carrington et Louis Ponthavelle concrétisent, enfin, leur mariage dans une ambiance festive sous le parrainage de leurs régions respectives, la Westhpalie d'Angélique qui propose un karaoké pour achever la soirée, et le Maghreb de Louis qui propose une Tombola.
La nouvelle Chasse au Trésor prend le prétexte de "Napoléon" pour ballader les participants dans les rues de la Capitale. Ce sont Sa Majesté et Mélissa Mercey qui remportent la médaille d'or.
Reconduisant le principe d'une soirée d'ouverture, le Gouvernement Ponthavelle rempile avec une deuxième tentative. Conscient des erreurs commises le Chancelier soignera davantage le contenu de la soirée qui propose "A venir", un concept autour des thèmes de la devination et des "sciences occultes" : astrologie personnalisée par Raphaël-Edfu Dorléac et Prudence Borghèse, boissons aux couleurs des humeurs proposées par Daphnée Valois et Louis Ponthavelle, et tirage de cartes réalisé par Raphaël-Edfu Dorléac et Prudence Borghèse qui en avait aussi créé les supports. Rires et bonne humeur résonnèrent dans les salons du Château La Désirade accueillant des Neustriennes et Neustriens vêtus de rouge et noir, code couleur de la soirée. Seul bémôle : pas de nouvelles têtes pour cette soirée d'ouverture.
Scorpion 622
Le XXIIIème Courovision aura attendu 24 ans, victime de la Courvide, pour, enfin, reprendre ses quartiers en La Chancellerie et y accueillir un public nombreux et un panel d'artistes des plus riches et renouvelés. Après le tirage au sort du passage des concurrents et la mise en place de la technique (caméras et éléments du son).
De gauche à droite : Le Pape Alexandre, vainqueur du précédent opus, ouvre la soirée, Salima Carcalon chante, pour la Tunisie, "Après toi", une chanson évoquant, avec humour, la disparition de Septime Onassis et le veuvage de Salima, la jeune Croate, Céleste Mansouri évoque avec douceur "La Cour dont je rêve", le marocain Spartacus Phongin parle de sa fille, Marie-Zozita, découverte sur le tard dans sa chanson "Ma fille".
De gauche à droite : Raspoutine Borghèse fait ses débuts sous le drapeau islandais en proposant une chanson remarquable sur sa famille, ayant pour titre "La nouvelle ère Borghèse", Daphnée Valois, qui n'en est pas à sa première participation se déchaîne pour un "Résiste et persiste" aux couleurs des Antilles, pour ses premiers pas, l'Africaine du Sud, Mélissa Mercey amuse le public par sa chanson "C'est vrai", enfin pour sa première participation, elle aussi, l'Espagnole Angélique Carrington, offre un portrait mi-tendre mi-drôle de son époux sous le titre "Loulou".
De gauche à droite : la jeune Danoise, Joëlle Valois provoque l'hillarité avec son titre "Connasse", pour l'Egypte, Marie-Zozita Médicis, l'une des stars du Courovision, avec Spartacus Phongin, chante un émouvant "Bye" qui va mettre la quasi totalité du public en pleurs, l'Empereur Ronan III clôt ce concours avec une éblouissante prestation sous le titre simple mais fort "En Neustrie", enfin le Chancelier annonce la suite des réjouissances : votes diffusés en direct, quelques chansons hors concours, cadeaux de porte-clefs avec un symbole musical remis à toutes et tous, annonce des résultats et remise des Prix dont une oeuvre créée par Prudence Borghèse pour les 3 artistes du podium, les médailles aux Prix Annexes et la Coupe au Gagnant.
De gauche à droite : Joëlle Valois, Célèste Mansouri, Angélique Carrington, co-présentatrice de la soirée, Charlotte Phongin.
De gauche à droite : Spartacus Phongin et sa fille, Marie-Zozita Médicis posent pour la postérité, Céleste Mansouri et Marie-Zozita Médicis votent pour le scrutin régional, les coupes.
De gauche à droite : le couple de présentateurs vedette, Angélique Carrington et Louis Ponthavelle, Joëlle Valois avec Céleste Mansouri et Prudence Borghèse, Mélissa Mercey avec Arlequin Ponthavelle et Prudence Borghèse, Sa Majesté l'Empereur Ronan III conversant avec Paul Carrington.
De gauche à droite : Ronan-Edwyn Dorléac remporte le Prix Chant, Angélique Carrington se voit remettre un tableau créé par Prudence Borghèse, pour honorer sa deuxième place, Marie-Zozita Médicis obtient, elle aussi, une peinture pour sa troisième place, remis par le Chancelier, tandis qu'elle partage, avec son époux l'Empereur le Prix Texte, l'Empereur remerciant son auteur, Damien Delacroix.
De gauche à droite : Joëlle Valois remporte le Prix Scénique, l'Empereur remporte, pour la France, une magnifique victoire et rechante sa chanson gagnante, pour le plus grand plaisir d'un public enthousiaste.
Sagittaire 623
Le XIXème Courmet revient, après, lui aussi, 24 ans d'absence. La table impériale est dressée, pour la première fois, au Château La Désirade. Les contraintes sanitaires autant que celles du manque de place, obligent l'Empereur à revoir l'organisation même de l'événement, la nouvelle disposition ne plaisant pas, particulièrement, au Chancelier Ponthavelle. Ainsi le déjeuner prend place en début d'après-midi, respectant les protocoles d'usages avec 5 entrées, 2 plats et 5 dessrts. Conversations badines, rires et dégustations appréciées sont au menu de ce déjeuner plein de finesses. C'est le Pape Alexandre qui s'offre le premier chelem de l'Histoire de Courmet en obtenant tous les prix du concours : Prix de l'Entrée qu'il partage avec Louis Ponthavelle, Prix du Plat, Prix du Dessert et Prix de la Décoration qu'il partage avec Gwendal Borghèse. Enfin, évidemment, le Pape Alexandre remporte, également, la Toque d'Or de ce concours.
Puisque la journée s'est vue divisée en deux, le deuxième volet ouvert à toutes et tous s'intitule "Liberalitas" sur une proposition de Sa Sainteté le Pape Alexandre, ce terme Cathun signifiant "Générosité". Même si la Cour y était conviée dans son ensemble, seuls les participants à Courmet y figurèrent. Sa Majesté procéda à de multiples réhausses et dotations de Charges et Honneurs après avoir prononcé un discours rappelant l'histoire de Courmet et les espoirs du Souverain. S'ensuivit l'intervention du Souverain Pontife, qui, après avoir porté un nouveau couvre-chef durant Courmet, aborait la Tiare officielle ainsi que sa cape pour exprimer son discours en Cathun, traduit par son nouveau Vidâme, Albéric Grimaldi avant d'étoffer son Clergé de 6 Evêques et 2 nouveaux Archevêques ainsi que des honneurs de Vidâme et Vicaire. Enfin, l'après-midi s'achevait par la venue du Père Noël, non sans hâte, tant l'heure était avancée, de présents les hôtes de Liberalitas.