Le Dauphin de Neustrie est désigné par le Souverain de Neustrie pour lui succéder sur le trône de Neustrie selon le droit héréditaire et la règle du droit d’aînesse au sein de la descendance directe du Souverain de Neustrie. Cette règle pouvant être dérogée en cas d'incapacité avérée et reconnue de l'ainé des héritiers. Le Dauphin de Neustrie devient Souverain de Neustrie dès lors que le Souverain précédent décède, abdique ou est déposé. Il doit être majeur pour en exercer les pleins droits et doit se faire valider par un Couronnement dans les deux années suivant son accession à la Souveraineté.

Le Dauphin de Neustrie est Vice Président des Assemblées Démocratiques. À ce titre, il peut assister et seconder le Souverain de Neustrie dans sa présidence des assemblées. Il est un simple exécutant des tâches attribuées par le Souverain de Neustrie.

Si la plupart des Souverains ont été Dauphin(e)s, l'Empereur Raphaël fait exception et n'a pas été sacré Dauphin tout comme l'Impératrice SO Ière qui a fondé la Dynastie. Il y eut aussi une Dauphine qui n'a pas régné, Marie-Emmanuelle Marvendé, assassinée avant de monter sur le trône. On doit ce terme à Fabrice Médicis décédé également avant d'accéder au trône qui avait été désigné "Dauphin d'Austrasie" par le l'Archiduc David d'Austrasie en 315. Enfin, certains héritiers qui n'ont pas survécu ni été sacrés Dauphins ont parfois été surmonnés "petit dauphin" ou "dauphine" sans pour autant avoir réélement porté le titre. Ce fut le cas de Denis Bonaparte, Benjamin-Napoléon Bonaparte et Raphaël-Edouard Médicis.