Imaginé par SO Bourbon, alias SO Ière, le 1er Courovision est co-réalisé, en 346, par SO Bourbon et Bruna-Christine Bourbon. Ce 1er opus (le deuxième également) est un concours des arts ouvert tant à la chanson qu'aux prestations scéniques. Il prend place au Palais des Lys et fait foule. Le concept est lancé ! On va désormais le retrouver toutes les dodécades sauf lors de la 51ème, victime de la Courvide 51, mais son succès ne sera plus jamais démenti. Si lors du deuxième opus, l'aspect théâtral reste conservé, le Courovision devient un pur concours de la chanson, lors de sa 3ème édition qui se tient, alors, en pleine guerre (370). Après guerre, on attendra 13 ans pour retrouver le Courovision qui, exceptionnellement se tient en Sagittaire (il avait aussi été en Sagittaire en 359), alors que toutes les éditions se tiendront et se sont tenues en Scorpion. Ce 4ème opus d'après guerre, en 383, ouvre sur une nouvelle ère avec un Courovision devenu plus pro, proposant des Prix Annexes (Chant, Texte et Scénique) au Prix Principal qui se voit doté d'un gain de place de concert, de même que l'Académie des Arts et des Lettres en devient le garant. Dès lors, le Courovision sera le rendez-vous le plus attendu du calendrier culturel neustrien et la Victoire sera très convoitée. Plusieurs périodes se sont succédées passant de la "prime au texte" dans les premières années, à la "prime au chant" ensuite pour continuer sur une "prime au scénique" avec une alternace texte/chant/scénique dans les versions plus contemporaines. En 418, une Coupe récurrente remplace le trophée prélablement remporté et accompagne toujours les diplômes et le concert offert au vainqueur. En 454, le Chancelier Estéban Phongin propose que les artistes chantent l'Hymne du Courovision, chanson co-écrite par Benoït Shegan et Alexy Borghèse. En 466, la crise qui découle de la Fronde de Londres, oblige la Chancelière Isis Valois à réduire la voilure : plus de concert au gagnant et un petit trophée remplace ledit concert et la coupe récurrente. En outre, cette même année, exceptionnellement, la soirée n'est pas ouverte par le ou la gagnant(e) du précédent opus, la gagnante précédente n'étant autre que la frondeuse en cheffe, morte au combat. Ce fut, donc la Chancelière et Ministre de la Culture, Isis Valois, qui chanta la chanson gagnante. Autrefois, une gagnante était, elle aussi, décédée après sa victoire. Il s'agissait d'Alexy Borghèse gagnant en 442 et décédant en 444 mais ce sera sa "momie" qui sera venue ouvrir le concours suivant... La coupe récurrente et les fleurs font leurs retours en 478 mais plus de concert ! En 538, la coupe récurrente est abandonnée pour revenir à un trophée plus modeste mais que les vainqueurs conservent. En 550, le trophée demeure et la coupe récurrente revient. Et en 574, une fois encore seule la coupe récurrente demeure, en raisons de restrictions budgétaires. Il faut attendre 586, sous l'impulsion du Chancelier Septime onassis pour voir remise une coupe personnalisée que les vainqueurs peuvent conserver. D'autres "prix" ont été remis aux vainqueurs : possibilité de réaliser un clip, DVD des Courovisions, CD des chansons gagnantes entre autres. En 622, le Chancelier et Ministre de la Culture, Louis Ponthavelle et sa Secrétaire d'Etat, Prudence Borghèse remettent un souvenir à toutes les personnes présentes, principe qui sera poursuivi par la Chancelière Angélique Carrington puis abandonnée par la Chancelière Daphnée Valois, en 658. Le Courovision a été accueilli dans de hauts lieux de la Cour au sein de la Capitale : le Palais des Lys (6 opus), la Villa Beaulieu (4 opus), l'Espace Fontaine (2 opus), l'Espace Montaigne (2 opus) ou encore l'Insolite (1 opus) puis à la Chancellerie (3 opus), mais à l'instar de Courmet ou du Pique Nique, le Courovision prit aussi place en dehors de la capitale : le Théâtre de La Basse Cour à Nanterre (2 opus), la Villa Montplaisir à Levallois Perret (2 opus), la Villa Cassandre à Noisy le Sec (1 opus) Castelet Rochefort à Suresnes (1 opus) et la Villa Célestis à Draveil (2 opus).

Si l'attribution des points a été, dès le premier opus, l'un des objets du spectacle, les différentes provinces neustriennes s'exprimant par écran interposé et échangeant avec le ou la présentateur(trice) du show, laissant un long suspens terminer la soirée, le concept changea en 538 pour adopter un système simplifié et faire disparaître les "duplex télévisés". En 598, sous l'impulsion du Chancelier Septime Onassis, le Courovision opère, de nouveau, un grand virage et renoue avec les votes diffusés, sauf que, cette fois, c'est un réel direct. De même, à l'instar d'autres concepts, Septime Onassis diffuse, désormais, de nombreux événements sur FaceBook dont le Courovision. Le Courovision s'équipe, dès lors, de matériels sono pro et s'il était filmé depuis ses origines, de nouvelles technologies viennent embellir le spectacle dont des clips, des supports de présentation et des écussons représentant les provinces et régions présentes. Enfin l'ordre de passage est, toujours, sous l'impulsion d'Onassis, établi par un tirage au sort public, tandis que les artistes portent des badges avec l'indication de leurs Provinces et leurs Régions. En 638, la Chancelière Angélique Carrington demande à l'Académie des Arts et des Lettres de ne plus valider de Prix annexes ex-aequo, désormais en cas d'égalité, l'Académie choisira le gagnant selon la place obtenue dans le classement général. Depuis 658, suite à des scandales politiques à répétition, l'Académie des Arts et des Lettres, à la demande de la Chancelière Angélique Carrington adopte des réformes : dès lors, les spectateurs présentent leurs votes en n'indiquant plus que les places du Podium (les 3 premières) et les prix annexes, il n'existe plus de points négatifs, les classés au-delà de la 10ème place obtienent un point de participation, et le contrôle des votes s'effectuent pas plusieurs Académiciens et non un seul. En 658, pour la première fois, une candidate peut participer à distance avec une prestation enregistrée, ce afin de faire participer les expatriés.